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Club Vélo Loisirs Verneuil L’Etang
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- Club cyclotouriste, nous pratiquons le vélo de route, Vtt et Tandem et nous avons une école cyclo
- Nous sommes affiliés à la FFCT, nous pratiquons uniquement pour le loisir!
- Vous êtes novice ou expérimenté, vous souhaitez faire un essai.
- Venez nous rejoindre!
- Président & Responsable Ecole Cyclo
- PERNELLE Bruno
- 06 28 30 89 02
- Vice Président Vtt
- BACHELET Philippe
- 07 83 52 40 03
C’est avec un cœur lourd :parcourant, où mon corps meurtri se met à défaillir l’existence s’évanouit dans une absolue détresse comme quand le cantique sonde un verbe des souvenirs soudain se décompose et le verbe offusqué subitement se pose : déserte, la vie me fut absente jusqu’à ce jour où elle ne vint pas l’impertinence et dans le sombre je vécus mais ce fut ma seule issue. Elle s’appelle nous tu te prêtas à mes silences à mes douleurs, aux confidences tu fus à défaud de réel moi qui fut sans toi mettre une musique sur une existence sans rythme sans espoir afin de me créer une trame qui s’éteindra terriblement seule je créais un autre verbe pour pallier un autre verbe. Roulant, Elle se nomme toi j’ai en moi toutes tes nuits j’ai en moi tout tes jours, Éteint ! mon illusion décomposant mon corps en plein etiollement ma vie se meurt en brèves sombres et monotones j’expire et j’agonise blessée le tunnel n’a point eu d’heur le labirynte et referme sur mon cœur et se fond en mirage. À MA SOEUR…
Vends GPS Garmin Edge 800 très bon état. Vendu avec chargeur et adaptateurs, câble USB, carte, support guidon et coque silicone. 90€
J’ai trouvé un site super intéressant pour savoir d’où vient le vent.
https://fr.windfinder.com/#13/48.5796/2.8728/nospots
tres bien
bonsoir à vous tous.
ludon, premier nom du village de leudon,
sortie club: SE1binv-les verrines.
ludon vient de la lance de lugh ou lug de la mythologie celtique,
dieu de la lumière dont le grand village
est la voie lactée.
nous serons au départ
comme des nautes-sénons.
le souffle d’avoir la vie devant, soi on y meurt
de manquer de proverbe mais tous nous en
sommes atteints. là-haut, très haut, loin, très loin,
tout autour dans une confidentialité et une
beauté sauvage, le ciel une silhouette en mouvement,
notre auteur, narrateur, comme un rasade déferle
profonde et puissante a envahi le monde, imposant
durablement ses stratégies, tragédies et ses contrainte.
elle a écrasé vers un joule plus lointain, ainsi de meme des
changements décisifs de perspective s’y dessinent.
cueillir le passé, cultiver de la mélancolie qui bourgeonne
mal sous nos latitudes quand elle peut lacer du nouveau
et aller le faire acculer au-delà de l’horizon.
comme la porte d’une pluie est le point de départ
de grandes randonnées dans le vaste monde.
parcourant, nous nous sommes adaptées aux fils
des débordement avec un toujours, formidable
engagement, qu’il faut saluer, dans l’attente de se
donner, satisfaction. roulant, une histoire s’ouvre, que
chacun(e) va lifter avec son talent, son savoir-etre,
comme au galop d’une èbe se lancer, une voie superbe
qui nous fait passer sur la voix monumentale cette selle,
celle du vélo a la portée de tous modulable suivant le fleuve.
bonsoir les velocemen.
s’alourdir de souvenir.
attelé à ce récit depuis une bonne
semaine alors que je suis presque
au mot fin les mots ne coulent plus
ce n’est pourtant pas la matière qui
manque. repartis dans un vaste parc
arboré, fleuri remarquable jardin
artistiquement dessiné. les parterres
sont de véritables broderies. alors qu’on
ne peut être que subjugué par les expositions
et les collections qui y sont présentées.
elle n’en finira pas de nous surprendre terre
de caractère, elle est faite, comme ses
habitants de contraste, identiques aux rapports
entre ses plaines, si souvent martyrisées, c’est
une terre que nous aimons parcourir, a rouler
au courant d’air. à quand le sentiment de
renouer avec un climat originelle, intacte,
sauvage, comme on aimerait qu’il soit partout
sur terre, est un enchantement, le pur sentiment
d’exister. j’ai oublié, je crois ce qu’était la nature
en ville mais ma mémoire ne me faisant pas
encore totalement défaut, j’en conserve quelque
images c’est cette dernière image, assurément,
qui a eu raison de mes abnégations urbaines où
le gouffre du a quoi bon. bon an mal an, j’étais
devenu comme un climat en cage. nous seront
au départ, elle est la force dans notre mouvement,
où deux forces s’opposent: la force motrice et la
force résistante. parcourant, en deux mille dix huit
nous somme plus de sept milliards d’êtres humain
sur une planète. roulant, des dégâts environnementaux
graves sont constatés exemple: très souvent liés a la
mauvaise utilisation des terres, c’est a dire dans un but
productiviste et via l’assistance de produit chimique nocif.
au-delà des question sanitaires, c’est avant tout un processus
de détérioration grave des terres arables qui est engendré
aux pesticides, destruction, erosion grave, salinisation ou
dé- fertilisation des sol… l’action anthropique et de mauvaises
pratiques agricoles sont a l’origine de la plupart des cas de
destruction de terres arables.
bonsoir.
sortie club: ne2 ainv-coton 813m.
sortie club:ne2binv-la vacherie 505m.
à l’instant où je compose
ces mots, où caractère
nous sommes tous confinés.
je ne sais pas qu’elle unités
me restera t’ils. mais voilà,
je suis encore confiné et le
seul récit qui m’anime est
celui dans etre mesuré: celle
que l’espace la frontière
invisible qui s’épare deux
émotion. n’en doutons pas
et puis confinés dans celle
qui marche avec une canne
sur laquelle elle s’appuie.
en ce qui me concerne,
l’évident la nature elle, elle
me manque tant. parcourant,
ses oeuvres qui donne,
redonnent vie, le ciel ce
leadership à l’exploit
extraordinaire de faire le
premier pas et de garder
la cadence, les plus étonnantes
au monde sont le fruit d’un
moment peut-être non
prémédité. roulant, le mouvement
du ciel a des allures dans
cette surprenante oeuvre
qui hantent l’athlète dans
l’exercice de sa passion.
que ce soit pour dévaler
les sentiers forestiers, avaler
du kilomètre ou se déplacer
il et elle nous présente ici
une sélection maison habiter.
enfermés, nous serons au départ.
bonsoir à tous le monde dans un monde.
sortie club: ne3 ainv-les laquais
ne3 binv-saint-augustin.
le souffle, c’est la vie restons le plus souvent
possible attentif a notre souffle et à sa régularité
car cela stabilise l’attention.
pour nous dynamiser, allongeons notre
respirations pour nous calmer, allongeons
notre expirations. nous serons au départ,
en tout cas loin des lieux confinés et de la
pollution des villes comme les trails- centers
poussent comme des bolets- orangés et
proposent une expérience de ride inoubliable,
c’est grâce aux plantes- parmi les premiers être
vivants de la terre- et aux animaux qui cohabitent
sur notre planète que nous nous sommes développés.
c’est toujours grâce à eux que nous vivons: que
nous respirons, que nous mangeons que nous nous soignons…
avec les arbres nous construisons.
parcourant; se mettre au vert, dans la nature, ses nuances
sont infinies et varient à chaque minute ainsi qu’au
fil des saisons, ce qui est source de perpétuel émerveillement
cette capacité à s’émerveiller et a trouver de la beauté
en toute chose. roulant, a la fin de l’été quand la terre
prend le large les température descendent et que les
jours diminuent la clorophylle est moins abondante
et laisse apparaître les autres pigments des feuilles, sont
processus de sénescence, avant la chute des feuilles. comme
une renaissance les couleurs changent, s’illuminent, se
réchauffent, virant au jaune, à l’orangé, au rouge et au brun.
le jaune stimule et met de bonne humeur. l’orange est plus
profond. le rouge exalte et excite, mais calme lorsqu’il devient
pourpre. le brun est aussi la couleur de la terre et dus bois
des arbres. il apaise mais peut aussi rendre triste à forte dose,
quand il n’est pas ravivé par d’autre teintes, l’hiver, les arbres
dénudés sous un ciel assombri peuvent porté a la mélancolie.
le blanc froid de la neige peut s’illuminer d’un éclat joyeux dès
ors qu’un rayon de soleil vient s’y refléter. mais aussi le bleu du
ciel, mais aussi de l’eau à également un effet calmant et bénéfique
comme le bleu, symbolise l’air la respiration, l’espace, l’infini, l’évasion, la communication, la paix la tempérance… il favorise la
réflexion, quand le ciel bleu devient très foncés, c’est l’heure bleue,
c’est le court instant où les oiseaux se mettent joyeusement à chanter
et les fleurs à exhaler tous leurs parfums puis les couleurs s’éteignent et les premières constellation s’allument et c’est le même spectacle
au lever du jour. comme une raison corrélat du corps dans l’attribut
de la pensée et cet esprit est localisé par le fait même de cette corrélation qui l’unit au corps où court un air où l’anonymat est son
exigence de service, l’homme n’est ni bon ni méchant, il est élan
cette force qui nous propulse indéfiniment dans l’existence comme
la poésie c’est un assemblage de mots bien choisis il faut en effet un
donner, le dressage social passe donc par le réfrènement du prendre
et l’apprentissage du donner avec pour perspective d’élever un donner devant chaque prendre, comme à la façon de deux arcs-boutants se soutenant l’un l’autre, pour sortir le prendre de son
unilatéralité.